Dans vos galeries !

De belles expos pour les fêtes

« Poésie fragile » de Hélène Bondurand Lallemand

Un tracé d’une singulière délicatesse Comme un hymne à l’amour éphémère, À l’amour qui s’effrite, mais qui résiste, À l’amour qui s’érode, mais qui se rode, Il saisit la pureté de l’instant qui s’efface Et donne vie à l’instant de grâce.

Dans cette nouvelle exposition, l’univers créatif et poétique de l’artiste Hélène Bondurand Lallemand se dévoile à travers ses dessins et peintures. Qu’elle dessine des pintades dont elle sait si bien saisir l’élégance, qu’elle capte le mouvement fugace ou l’expression d’un visage nubile dans ses portraits féminins, elle nous invite à un voyage où la délicatesse, la fragilité et l’humour caressent la sensibilité du spectateur.

Jusqu’au 31 décembre 2024 à Eureka Galerie, Zone 4, rue Marconi.

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« And there was light » de Louis Philippe De Gagoue

La première exposition rétrospective consacrée à Louis Philippe de Gagoue (1991- 2021). Ce photographe, directeur artistique, styliste d’origine ivoirienne par son père et camerounaise par sa mère était éditeur en chef et directeur créatif de Nikkou magazine, qu’il a lancé en 2019.

Ce magazine expérimental mêlait le luxe, la mode, la beauté et l’art contemporain. Il fut un esthète insatiable, un poète visuel dont le talent inclassable a ébloui les scènes artistiques à l’international.

Jusqu’au 4 janvier 2025 au Something Art Space, Cocody, Blockhauss.

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« Épiphanie » par Abraham Mbuyi, Atowla Kouadio, David Josué Oyoua et Nicodème Gueho

La révélation, l’éveil, la transformation… cette nouvelle exposition vous invite à plonger au cœur de moments d’introspection et de clarté à travers les œuvres inspirantes de 4 artistes.

Jusqu’au 23 décembre 2024 à la Galerie Tetchi, Cocody CIAD.

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« Au-delà du jardin, il y a la mer » par Elladj Lincy Deloumeaux

Pour sa seconde exposition personnelle à Abidjan, Elladj Lincy Deloumeaux présente un nouveau corpus d’œuvres inspirées par ses nombreux voyages entre la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Maroc, le Cameroun et le Rwanda. Il s’agit avant tout d’une réflexion sur la notion du “chez-soi” – mobile, fluide et en constante mutation – en regard de la réinvention de l’être dans des territoires marqués par l’histoire, les rencontres et les souvenirs.

Conçue comme un parcours, l’exposition est une exploration autant physique que spirituelle, qui interroge la question de l’espace intime et du rapport à soi dans le monde.

En collaboration avec sa sœur, Orlane Lincy Deloumeaux, architecte d’intérieur et designer, l’exposition présente une scénographie singulière : un dôme et un espace en spirale, des murs recouverts de terre et un ensemble de mobiliers (retable, portes, pendentifs, panneaux…) témoignant du savoir-faire traditionnel des artisans de Grand-Bassam.

Autant d’éléments qui en font un espace de rencontre et d’échange au sein duquel passé, présent, ici et ailleurs se mêlent dans un dialogue décomplexé.

Jusqu’au 28 décembre 2024 à la Galerie Cécile Fakhoury, Cocody, bd Latrille.

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« Raconte mon histoire » de Claudie Poinsard & « VNPI » de Gauz’

Ces deux artistes, chacun avec son propre langage, vous proposent un voyage sensible où le passé, le présent et la narration se croisent et se répondent. 2 expositions qui se rejoignent dans une célébration vibrante de la mémoire, du temps et de l’humanité.

L’artiste peintre franco-camerounaise vous emmène au cœur de récits peints où chaque toile dévoile les fragments d’une mémoire personnelle et collective.

Jusqu’au 31 décembre 2024 à la Fondation Donwahi, 2 Plateaux.

Gauz’ nous convie à explorer la dignité et la profondeur de l’expérience humaine à travers « Vieux N’est Pas Injure », un hommage aux aînés, par l’objectif et la plume. Ses portraits et textes mettent en lumière la richesse des histoires enfouies sous les rides, le poids d’un temps vécu avec courage, amour et rébellion.

Jusqu’au 31 décembre 2024 à la Fondation Donwahi, 2 Plateaux .

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« (Re)Silence » par Alun Be

L’art doit avoir cette capacité de nous réveiller, de faire bouger nos frontières internes…. (Alun Be)

Cette exposition nous transporte au cœur de l’univers poétique et philosophique du photographe Alun Be. Dans « (Re)silence », il met en scène une petite fille vêtue d’une robe rouge, figure centrale et mystérieuse, qui s’aventure au bord de la mer ou sous un baobab centenaire.

Cette enfant, symbole d’un avenir en perpétuel mouvement et enraciné dans la tradition, évoque le thème fondamental de la quête d’origine et de l’exploration de l’inconnu. Alun Be dévoile également une série d’œuvres inédites où la photographie se mêle pour la première fois à la peinture.

Inspiré par les murs de l’île de Gorée au Sénégal, il révèle la texture du vécu que portent ces surfaces. Sur les photographies de ces murs, il accentue les détails au pinceau, comme pour en libérer les secrets. Ces œuvres interrogent l’histoire et la mémoire, capturant le paradoxe de la fragilité et de la résilience humaines.

Jusqu’au 11 janvier 2025 au LouiSimone Guirandou Gallery, Cocody Mermoz.

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« Le jardin de l’inconscient » par Romilus

Une invitation à découvrir l’univers envoûtant de l’artiste Romilus, où chaque œuvre explore les profondeurs de l’inconscient à travers une approche artistique s’inspirant du pointillisme.

En jouant avec les textures et les reliefs, Romilus nous transporte dans des paysages oniriques et repousse les limites de notre imagination en proposant une tout autre lecture de notre patrimoine culturel.

Jusqu’au 4 janvier 2025 au Walls House of Art. Zone 4, rue P. Langevin.

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« La vie des signes » par Abdoulaye Konaté

« La vie des signes » est la première exposition individuelle dans notre pays d’installations textiles de l’artiste malien de renommée internationale Abdoulaye Konaté.

Elle dévoile une série de créations inspirées par la Côte d’Ivoire et témoignant de sa maîtrise unique dans l’art de conjuguer un artisanat raffiné à des récits culturels riches et profonds.

Pionnier de l’art contemporain africain, Abdoulaye Konaté est reconnu pour ses œuvres textiles monumentales réalisées à partir de tissus tissés et teints typiques de son pays natal.

Ses créations, à la fois abstraites et figuratives, abordent des problématiques variées, allant du langage visuel aux enjeux sociaux, politiques et environnementaux.

Elles figurent dans de prestigieuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, au Metropolitan Museum of Art à New York et à la Tate Modern à Londres.

Jusqu’au 8 janvier 2025 à la Galerie Farah Fakhri, Plateau, av. Delafosse.

Publié en décembre